Sur quelle saison s'ouvre le chapitre ?
- C'est le début de l'été.
- C'est le début de l'hiver.
- C'est le début du printemps.
- C'est le début de l'automne.
Quel désagrément la chaleur faisait-elle apparaitre ?
- Les punaises et les mouches.
- Les mauvaises odeurs.
- La rareté de l'eau.
- Les fissures dans les murs.
Que décida Zoubida de faire contre les déplaisantes bestioles ?
- Une guerre totale.
- Les domestiquer.
- Les apprivoiser.
- Les effrayer.
Avec l’arrivée de la chaleur, où le Msid fut-il déménagé ?
- Dans un petit sanctuaire.
- Dans la nouvelle école publique.
- Dans la mosquée du quartier.
- Dans une petite maison.
Quel effet eut le mausolée qui servait d'école sur Sidi Mohammed ?
- Un effet bénéfique sur sa santé physique et morale.
- Un effet nuisible sur sa santé physique et morale.
- Un effet mystérieux sur ses sentiments vis-à-vis du maître.
- Un effet magique sur ses rêves.
Quel sentiment éprouva Sidi Mohammed pour l'école ?
- Il commença à aimer l'école.
- Il commença à détester l'école.
- Il commença à admirer ses camarades de classe.
- Il n'arrivait plus à supporter le maître.
Quel avenir prédisait le fqih pour Sidi Mohammed ?
- Un grand savant.
- Un grand médecin.
- Un grand commerçant.
- Un grand artisan.
Quelle image évoquait le mot "savant" chez le narrateur ?
- Un homme obèse, barbu et inélégant.
- Un homme intelligent et soigné.
- Un homme maigre et mystérieux
- Un homme intelligent et énigmatique.
Qu’est-ce qui justifiait l’ardeur de Sidi Mohammed dans son travail à l'école ?
- Éviter la baguette de cognassier du fqih.
- Devenir un grand savant.
- Gagner l'estime de son maître.
- Se démarquer de ses camarades de classe.
Quel type d'homme souhaitait être le narrateur dans ses heures de rêve ?
- Un homme simple, robuste, vif et tendre.
- Un homme raffiné, robuste, vif et tendre.
- Un homme raffiné, robuste, astucieux et distingué.
- Un homme modeste, robuste, sobre et angélique.
Dans quelle intention le père du narrateur voulait-il aller au souk des bijoux ?
- Offrir des bracelets à sa femme.
- Vendre des bijoux pour équiper son atelier.
- Acheter une khémissa à son fils.
- Acheter des aiguilles en argent pour son atelier.
À quoi l'enfant compara-t-il les bijoux ?
- Aux fleurs.
- Aux objets de sa boîte à merveilles.
- Aux fruits.
- Aux habits de l'Achoura.
Quelles étaient les fleurs que connaissait Sidi Mohammed ?
- Les soucis, les coquelicots, les marguerites, les liserons, les géraniums, les œillets et les roses.
- Les chrysanthèmes, les gaillardes, les hortensias, les absinthes, les anémones, les bégonias et les camélias
- Les chrysanthèmes, les gaillardes, les hortensias, les liserons, les géraniums, les œillets et les roses.
- Les soucis, les coquelicots, les marguerites, les absinthes, les anémones, les bégonias et les camélias.
Comment le narrateur considéra-t-il le rire de ses parents à propos de sa comparaison ?
- Comme une indélicatesse.
- Comme une amabilité.
- Comme une politesse.
- Comme une générosité.
Quelles étaient les deux catégories de bijoux classées par Sidi Mohammed ?
- Les bijoux de tous les jours et les bijoux de fête.
- Les bijoux des hommes et les bijoux des femmes.
- Les faux bijoux et les vrais bijoux.
- Les bijoux en or et les bijoux en pierres précieuses.
D'où provenait "la douloureuse mélancolie" du narrateur ?
- De son impossibilité de faire part aux autres de ses découvertes.
- De son impossibilité de réaliser ses rêves.
- De son impossibilité de vivre dans la réalité.
- De son impossibilité de distinguer le visible de l'invisible.
Qu'est-ce que le narrateur n'arrivait-il pas à pardonner aux adultes ?
- De ne pas essayer de le comprendre.
- De le gronder.
- De le frapper.
- De l'envoyer faire leurs courses.
À quoi le narrateur compara-t-il le souk des bijoutiers ?
- À une fourmilière.
- À une foire.
- Au souk des animaux.
- Au Msid le jour de l'Achoura.
Qui a accompagné la famille du narrateur au souk des bijoutiers ?
- Fatma Bziouya.
- Rahma.
- Lalla Aïcha.
- Zineb.
Pourquoi les bijoux du souk ne ressemblaient-ils pas aux fleurs ?
- Ils avaient été fabriqués sans amour.
- Ils n'étaient pas en or
- Ils étaient incrustés de faux diamants.
- C'étaient des bijoux de tous les jours.
Que s'était-il passé dans le souk des bijoux ?
- Une dispute entre Abdeslam et le courtier.
- Une dispute entre Zoubida et une vendeuse.
- Un courtier a volé la bourse d'Abdeslam.
- Un courtier a contrarié Zoubida en présence de son mari.
Comment le père du narrateur expliqua-t-il l'incident du souk ?
- Il a corrigé le courtier qui voulait lui jouer un tour.
- Il a disparu car il avait oublié l'argent dans son atelier.
- Il n'a pas supporté d'être traité de campagnard.
- La présence de Fatma Bziouya le gênait.
Que pensa Zoubida des bijoux achetés par son mari ?
- Les bijoux porteraient malheur à la famille.
- Les bijoux étaient de bon augure.
- Les bijoux auraient un bon effet sur les voisines.
- Les bijoux seraient une précaution pour les mauvais jours.
Que désirerait Zoubida que son mari fasse des nouveaux bracelets ?
- Les revendre.
- Les échanger.
- Les cacher dans son atelier.
- Les confier à un bijoutier pour le polissage.
Qu'était-il arrivé à Lalla Aïcha ?
- Son mari l'a abandonnée pour épouser une seconde femme.
- Son mari l'a abandonnée pour aller accomplir le pèlerinage à La Mecque.
- Son mari l'a abandonnée pour aller s'installer dans une autre ville.
- Son mari l'a répudiée pour faire plaisir à sa mère.
Qui était la seconde épouse de Moulay Larbi ?
- La fille d'Abderrahman le coiffeur.
- La fille d'El Haj Omar le marchand de thé.
- La fille de Driss El Aouad le fabricant de charrues.
- La fille de Sidi Mohammed ben Tahar le coiffeur.
Que provoquèrent les récits des malheurs de Zoubida et de Lalla Aïcha chez l'enfant alité ?
- La fièvre et les vomissements.
- Des cauchemars.
- L'envie de s'évader et d'ouvrir sa boîte à merveilles.
- Des pleurs.